Replay Webinar : Facture électronique 2026 en Live chez Sage – Avez-vous VRAIMENT compris ?

En Bref

La réforme de la facture électronique va bientôt s’imposer à toutes les entreprises assujetties à la TVA, sans exception ou presque. À partir de septembre 2026, elles devront être capables de recevoir des factures électroniques, puis les émettre à leur tour, selon leur taille, d’ici 2027. Le PDF envoyé par e-mail ne suffira plus : il faudra utiliser des formats structurés (Factur-X, UBL, CII) et passer par des plateformes agréées comme celle de Sage.

Dans ce webinar, Sylvain (BLC) et Emmanuel (Sage) expliquent comment cette obligation peut devenir une vraie opportunité. Grâce aux briques Sage (Sage 100, Sage Intacct, Sage Connect, ACS, Data Clean & Control, Partner Cloud…), les entreprises peuvent non seulement se mettre en conformité, mais aussi automatiser la réception et la comptabilisation des factures, nettoyer leurs données tiers, suivre les statuts en temps réel et mieux gérer les relances. L’idée centrale est de ne pas attendre le dernier moment : plus on anticipe avec son intégrateur (BLC), plus la réforme devient un accélérateur de modernisation plutôt qu’une contrainte subie.

Consulter notre Guide sur la Facture électronique

🧾 La réforme de la facture électronique : le contexte et les enjeux

Cette réforme est d’abord une réforme fiscale. L’État cherche à mieux contrôler la TVA, à limiter la fraude et à réduire les écarts entre les entreprises qui jouent le jeu et celles qui “optimisent” un peu trop. Emmanuel rappelle que plusieurs milliards d’euros de TVA “disparaissent” chaque année, ce qui a clairement motivé le renforcement des contrôles.

Toutes les entreprises assujetties à la TVA sont concernées, y compris les auto-entrepreneurs au-delà de certains seuils, les SCI soumises à TVA, les TPE et les grands groupes. Même les structures qui ne facturent pas ou peu à d’autres entreprises françaises sont concernées au moins sur la partie e-reporting.

Le changement majeur, c’est que le PDF simple envoyé par mail ne sera plus reconnu comme une facture électronique. Pour être conforme, votre facture devra être dans l’un des formats acceptés et passer par les circuits prévus par la réforme.

Les formats de facture électronique acceptés sont notamment :

  • Factur-X (PDF + données structurées embarquées)
  • UBL
  • CII (CII / C2I)

Ces formats contiennent les informations qui intéressent l’administration : montants, TVA, destinataires, nature de l’opération, etc. C’est sur ces données que l’État va s’appuyer pour contrôler et sécuriser la TVA.

⏱️ Calendrier et impact sur l’organisation

Le calendrier officiel est simple sur le papier, mais un peu plus piégeux dans la réalité.

À partir de septembre 2026, toutes les entreprises devront être capables de recevoir des factures électroniques. L’émission deviendra obligatoire à des dates différentes selon la taille des entreprises : les plus grandes dès 2026, les TPE/PME plutôt autour de septembre 2027.

Mais il y a plusieurs points à garder à l’esprit :

  • L’été est une période où les projets avancent peu. Pour être réellement prêt en septembre, il faut viser un système opérationnel en juin.
  • Les donneurs d’ordres importants (grands groupes, réseaux, etc.) peuvent exiger que leurs fournisseurs soient prêts dès la première vague, même si la loi leur laisserait quelques mois de plus.
  • Les équipes de consulting ne sont pas extensibles. BLC le souligne : avec plusieurs centaines de clients à accompagner, si tout le monde s’y met en mai/juin 2026, il y aura forcément un goulot d’étranglement.
  • Il existe aussi des obligations d’e-reporting plus fréquentes. Par exemple, pour les entreprises au régime CA3, des remontées d’informations pourront être exigées tous les dix jours, ce qui impose d’avoir des flux très structurés. Pour le CA12, le rythme est différent, mais la logique reste la même : l’administration veut des données plus fines, plus rapidement.

🧩 Les acteurs techniques : PPF, plateforme Sage et interopérabilité

La réforme introduit un écosystème d’acteurs techniques qui doit fonctionner de manière fluide.

On trouve d’abord les solutions compatibles (les “SC”), c’est-à-dire vos ERP et logiciels de gestion. Un Sage 100, un X3 ou un Intacct capable de produire et consommer des factures électroniques au bon format est une solution compatible.

Vient ensuite le Portail Public de Facturation (PPF). C’est la plateforme de l’État, qui sert à la fois de point d’entrée, d’annuaire des entreprises et de relais des données vers l’administration fiscale.

Enfin, il y a les plateformes agréées (PA), comme la plateforme Sage, qui sont auditées tous les trois ans et doivent respecter un cahier des charges précis. Sage a un positionnement particulier, puisqu’il est à la fois :

  • éditeur des solutions compatibles (ERP et logiciels de gestion),
  • et opérateur d’une plateforme agréée.

Cela permet à Sage de gérer le cycle de vie complet des factures, de l’émission à la réception, en passant par les statuts, les refus, les relances et, demain, les paiements.

L’interopérabilité est un point important : les plateformes agréées doivent pouvoir échanger entre elles. Vous pouvez donc utiliser la PA Sage tout en envoyant des factures à des clients qui ont choisi une autre PA, ou en recevant des factures de fournisseurs qui utilisent des solutions différentes.

🛠️ Se préparer : process, données et outils

🧭 Repenser ses process internes

Avant même de parler de logiciels, BLC insiste sur un point : il faut cartographier vos processus. Concrètement, cela veut dire répondre à des questions très pragmatiques :

  • Avec quoi émettez-vous vos factures aujourd’hui ? Sage Gescom, un outil métier, un site e-commerce, Excel… ?
  • Comment recevez-vous les factures fournisseurs ? Par e-mail ? Par courrier ? Via un portail ?
  • Qui valide les factures à l’arrivée : achats, direction, compta, opérationnels ?
  • Où se fait la comptabilisation : dans la Gestion Commerciale, dans la compta, dans un autre système ?

L’objectif est de savoir quelles briques doivent être connectées à la plateforme Sage, comment organiser les flux, et quels utilisateurs doivent être impliqués. C’est à ce niveau que le conseil BLC permet de faire des choix “éclairés” plutôt que d’empiler des solutions techniques.

🧹 Nettoyer les données avec Sage Data Clean & Control

La qualité des données tiers est un autre chantier clé. Sage propose pour cela Data Clean & Control (DCC), qui permet de contrôler et corriger massivement les fiches clients et fournisseurs.

L’outil détecte les incohérences (SIRET manquants ou erronés, TVA mal renseignée, adresses incomplètes) et propose des corrections automatiques ou assistées. Dans les versions plus récentes, DCC va plus loin en intégrant du fonctionnel lié à la facture électronique et, à terme, en pouvant se brancher directement sur l’annuaire de l’État pour comparer vos données à celles des bases officielles.

Ce nettoyage en amont est crucial : une base tiers propre réduit les rejets de factures, les erreurs de routage et les problèmes de TVA, et sécurise globalement vos flux.

🧨 Choisir et inscrire sa plateforme agréée Sage

L’inscription à la plateforme agréée est la première obligation “technique” de la réforme. Sage fournit un assistant intégré dans la Gestion Commerciale et la Comptabilité, via un bouton dédié à la facture électronique.

Le principe est simple :

  • vous choisissez le logiciel concerné (Sage 100, X3, Intacct, etc.),
  • vous saisissez votre code client Sage,
  • vous indiquez le SIREN de la société,
  • le système remonte les informations de l’entreprise,
  • vous renseignez le nom, prénom et e-mail de la personne habilitée,
  • puis vous validez l’inscription, qui est transmise à l’annuaire.

La personne qui signe doit avoir un pouvoir juridique (dirigeant, représentant légal ou délégation officielle), puisque l’inscription engage l’entreprise vis-à-vis de l’administration.

Pour les groupes ou les structures multi-sociétés, Sage a simplifié la démarche : il est désormais possible de gérer plusieurs SIRET en une seule opération. Vous pouvez aussi mandater BLC pour effectuer l’inscription à votre place.

Côté volumes, la bonne nouvelle est que la connexion à la plateforme est incluse dans l’abonnement Sage jusqu’à un certain nombre de factures par mois. Un flux correspond à une facture, et les changements de statut associés ne sont pas facturés en plus.

Voici un ordre de grandeur illustratif :

Solution Sage Flux factures inclus / mois Exemple de volume annuel
Sage 100 / Gescom / Compta 1 000 flux 12 000 factures / an
Sage Intacct 2 000 flux 24 000 factures / an

Au-delà, des packs de flux supplémentaires existent, à définir avec BLC selon votre volumétrie réelle.

📤 L’émission des factures électroniques dans Sage

📑 Émission depuis Sage Gestion Commerciale

Dans Sage Gestion Commerciale, le quotidien reste familier pour les utilisateurs, mais avec quelques nouveautés bien visibles. Une fois vos factures créées comme d’habitude, une colonne d’e-statut apparaît dans la liste, et des boutons dédiés à la facture électronique sont disponibles.

Lorsqu’on ouvre une facture, on retrouve notamment :

  • un bouton “Facture électronique”, qui affiche les informations RFÉ (par exemple la nature de la facture : biens, services ou mixte),
  • un bouton “Transmettre à Sage Connect”, qui envoie la facture vers la plateforme Sage.

Sage détecte automatiquement si la facture mélange des lignes de marchandises et des prestations, ce qui est important pour la TVA et pour les obligations d’e-reporting. L’envoi peut se faire facture par facture, ou en masse, après filtrage par date ou par statut.

Une fois la facture transmise, il n’y a pas de retour en arrière sur le document lui-même, comme c’est déjà le cas avec les règles de facturation et la loi anti-fraude : toute correction passe par un avoir, ce qui garantit la traçabilité.

📊 Sage Connect : portail collaboratif et suivi des flux

Sage Connect est le portail collaboratif qui centralise les échanges de factures émis via la plateforme Sage. C’est un environnement SaaS accessible depuis un navigateur ou via des tuiles intégrées dans les logiciels Sage.

On y retrouve :

  • les factures émises, avec leur statut (mise à disposition, envoyée, acceptée, refusée, payée, etc.),
  • les factures à régler, classées par retard (30, 60, 90 jours et plus),
  • L’historique détaillé des événements sur une facture, horodatés.

Sage Connect propose aussi une brique de messagerie liée aux factures. On peut y définir des modèles d’e-mails pour l’envoi automatique de factures ou de relances, et envoyer ponctuellement un message personnalisé à un client directement depuis l’écran des transactions.

Pour les clients particuliers ou les clients B2B qui n’ont pas d’accès direct aux logiciels, Sage Connect peut envoyer un lien vers un mini-portail où ils peuvent consulter et télécharger leurs factures.

À terme, Sage prévoit d’ajouter la possibilité de payer en ligne via des partenaires comme Stripe ou PayPal, afin de diminuer les délais d’encaissement. Les utilisateurs internes, même s’ils n’ont pas accès à la Gestion Commerciale, peuvent être dotés d’un compte Sage Connect, sans limitation de nombre, ce qui permet d’impliquer la finance, les achats, le recouvrement, la direction, etc.

Si vous utilisez déjà un outil de recouvrement comme Sage Recouvrement de Créances, il sera important de régler les paramètres de Sage Connect pour éviter les doublons de relances (par exemple en réservant les relances structurées à l’outil dédié et en utilisant Sage Connect plutôt pour le suivi des statuts et la communication ponctuelle).

📥 Réception des factures : compta directe ou Sage ACS ?

📚 Réception directe dans la comptabilité Sage

Dans certains cas, la réception peut être gérée directement dans la comptabilité Sage, sans passer par ACS. Les factures électroniques arrivent dans un écran dédié, où l’on voit le visuel de la facture et les données structurées associées.

Sage propose alors une écriture comptable en pied de facture, en s’appuyant sur :

  • les modèles de saisie associés aux tiers,
  • les comptes de charges par défaut,
  • la configuration de TVA,
  • éventuellement l’analytique.

Cette approche est très adaptée si :

  • vous n’avez pas besoin de workflow de validation à plusieurs niveaux,
  • vous n’avez pas besoin de distinctions complexes à la ligne (un seul compte de charge par facture suffit),
  • vous traitez principalement des frais généraux ou des factures simples.

L’utilisateur peut ensuite ajuster l’écriture (modifier un compte, répartir sur plusieurs sections analytiques, etc.).

🤖 Réception avancée avec Sage Automatisation Comptable (ACS)

Dès que les besoins se complexifient, Sage Automatisation Comptable devient la brique d’automatisation centrale. ACS est particulièrement utile si vous devez :

  • gérer des workflows de validation (par exemple plusieurs approbateurs par facture),
  • comptabiliser à la ligne avec des règles intelligentes (distinction automatique entre 607, 604, etc.),
  • traiter un mix de factures électroniques françaises et de PDF venant de fournisseurs étrangers,
  • rapprocher les factures d’achats avec les bons de commande ou les bons de livraison issus de votre Gestion Commerciale.

ACS récupère les données de votre comptabilité (plan de comptes, analytique, conditions de règlement, tiers…) et permet de définir des règles de comptabilisation. Par exemple, on peut décider qu’une ligne contenant le mot “bague” sera imputée sur un compte d’achats de marchandises, et qu’une ligne contenant “montage” sera affectée à un compte de prestations.

L’outil peut également :

  • intégrer des PDF reçus par e-mail (utile pour les fournisseurs étrangers non soumis à la RFÉ),
  • classer automatiquement les factures dans une GED structurée (par fournisseur, nature de document, exercice, etc.),
  • alimenter la Gestion Commerciale en informations lorsqu’un rapprochement BC/BL/facture est nécessaire.

ACS est aussi une solution de secours très efficace si votre facturation de vente est réalisée dans un logiciel métier qui ne gère pas nativement la facture électronique. Vous pouvez continuer à émettre des PDF ou des fichiers CSV, et laisser ACS se charger de les convertir en factures électroniques conformes, puis de les envoyer via la plateforme Sage.

☁️ Mises à jour, cloud et installations locales

La réforme avance, et Sage fait évoluer ses produits au fil des versions. L’accès complet au fonctionnel facture électronique suppose d’être en version à jour.

Le bouton d’inscription à la plateforme agréée est disponible à partir de la version 11 de Sage 100, mais les enrichissements liés à la RFÉ (cas d’usage, nouveaux champs, évolutions légales) sont principalement livrés dans les versions récentes, comme la V12 et ses mises à jour successives.

Pour les clients en Sage Partner Cloud (SPC), les mises à jour sont gérées par l’infrastructure hébergée. Les environnements sont mis à jour régulièrement, souvent en heures creuses ou le week-end, ce qui permet d’intégrer les nouveautés RFÉ sans immobiliser les équipes.

Pour les clients en on-premise (serveur interne ou installation locale), les mises à jour sont à planifier avec BLC. Il est possible dans certains cas d’utiliser des mécanismes d’auto-update, mais cela dépend de l’architecture et des éventuels développements spécifiques. Dans tous les cas, être à jour n’est pas seulement confortable : c’est une condition pour pouvoir gérer les cas d’usage les plus complexes (BTP, co-traitance, international, etc.) et suivre l’évolution du cadre légal.

✅ Réponses aux questions posées pendant le live

Oui, le fonctionnement fonctionnel est le même ; la différence se situe principalement au niveau du déploiement des mises à jour, automatique en Sage Partner Cloud et planifié avec votre partenaire en on-premise.

Dans ce cas, il est recommandé d’utiliser une configuration ACS adaptée, par exemple ACS Factures de Ventes, afin de traiter ces SCI à faible volumétrie sans surdimensionner la solution et en restant conforme à la réforme.

Vous continuerez à réceptionner leurs factures en PDF par e-mail, puis à les intégrer dans Sage ACS qui permet de traiter ces PDF aux côtés des factures électroniques françaises.

Vous recevez la facture en PDF comme aujourd’hui, vous la déposez et la traitez dans ACS, qui se charge ensuite de la comptabilisation en tenant compte de la devise et de la TVA.

Les mises à jour peuvent utiliser des mécanismes d’auto-update, mais elles sont à organiser et valider avec BLC pour s’assurer de la compatibilité avec votre environnement et vos éventuels développements spécifiques.

Elles seront planifiées en concertation avec BLC, comme tout projet de migration, afin de maintenir votre environnement conforme à la réforme tout en limitant les interruptions de service.

Oui, ACS peut gérer la réception et le rapprochement des factures, et vous continuez ensuite à comptabiliser dans la Gestion Commerciale, en utilisant les paramétrages des fiches articles comme aujourd’hui.

Oui, ce cas est bien pris en compte car il s’agit de B2B ; il faudra simplement générer des factures électroniques conformes à partir de ces données centralisées, par exemple via un connecteur ou ACS.

Il faut paramétrer un pourcentage d’assujettissement ou un prorata de TVA dans Sage, de façon à ce que le logiciel applique automatiquement la part de TVA déductible sur les factures concernées.

À ce jour, Chorus Pro reste la solution de référence pour les factures à destination du secteur public ; vous pouvez continuer à l’utiliser, et la plateforme Sage prendra à terme en charge les envois B2G, sans date précise annoncée pour l’instant.

Pour l’instant, le bouton « Transmettre… » est réservé aux flux gérés par la plateforme Sage ; les factures B2G continuent de passer par Chorus Pro en attendant une interopérabilité complète entre les systèmes.

Il s’agit de cas d’usage spécifiques prévus par la réforme ; leur prise en charge est en cours d’intégration dans les solutions Sage, et nécessite d’être en version récente pour bénéficier des évolutions.

Un flux correspond à une facture ; chaque facture compte pour un flux dans votre quota, et ce comptage ne tient pas compte des changements de statuts ultérieurs.

Les envois et réceptions de statuts ne sont pas comptés séparément ; la facture possède un identifiant unique, et tous les allers-retours de statuts restent rattachés à ce même flux.

Oui, Sage Connect fonctionne avec les solutions Sage on-premise comme avec les solutions en SaaS ; le portail, lui, est hébergé en mode SaaS.

Oui, les informations de la fiche tiers sont utilisées pour générer les données structurées de la facture électronique (Factur-X, UBL, CII) qui sont envoyées à la plateforme agréée.

Oui, il est nécessaire d’être en dernière version de la Gestion Commerciale pour disposer de tous les champs et fonctionnels liés à la facture électronique.

Non, un même numéro de TVA ou de SIRET ne peut pas être utilisé pour plusieurs clients dans Sage, afin d’éviter les doublons et les incohérences, notamment vis-à-vis de l’annuaire de la facture électronique.

Non, le bouton d’inscription à la plateforme agréée est disponible à partir de la version 11, même si les fonctionnalités les plus récentes arrivent sur les dernières versions.

Oui, il est possible d’enregistrer plusieurs SIREN ou SIRET pour un même code client Sage et d’inscrire plusieurs sociétés en une seule opération.

Dès lors qu’une entité est assujettie à la TVA française, elle est concernée par la réforme, au moins sur la partie reporting, même si des spécificités locales existent et doivent être vérifiées avec un conseil fiscal.

Oui, Sage met en place des tests pilotes qui permettent à des entreprises équipées de Sage d’échanger des factures au format électronique, avant l’ouverture complète des flux vers l’administration.

Selon la complexité des règles de TVA et des flux, il peut être pertinent de créer deux fiches clients distinctes, l’une pour les flux domestiques, l’autre pour l’export, afin de gérer proprement les règles de routage et de TVA.

Il faut ajuster les paramètres de Sage Connect pour limiter ou désactiver les relances automatiques si elles font doublon avec celles de l’outil de recouvrement, et réserver Sage Connect au suivi des statuts et à la communication ponctuelle.

Sage travaille sur les obligations pays par pays, dont l’Espagne, mais les modalités précises dépendront des évolutions produits ; il faudra faire le point avec BLC et Sage au moment de lancer le projet sur cette filiale.

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